Dominer mon p’tit jeune et en profiter

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il y a 6 ans

Dominer mon p’tit jeune et en profiter

Bonjour à toutes et a à tous. Je m’appelle Ghislaine, j’ai trente-sept ans, toujours célibataire. J’aime mon indépendance et ma façon de vivre. J’ai de nombreuses aventures, souvent épistolaire. Aujourd’hui, je voudrais vous toucher deux mots de Kévin, ce sacré petit Kévin… Je le connais depuis un sacré bout de temps, depuis qu’il est ado en fait. Je n’aurais jamais cru qu’un jour j’en ferais mon amant, un amant bien particulier, il faut bien le dire…

Ce petit salaud a tout d’adorable : une gueule, un cul, des mains d’anges. Il en a aussi naturellement la patience. C’est peut-être la raison pour laquelle il a dès le début réveillé en moi l’impérieux désir de l’asservir…

Avoir un gamin de vingt et un ans à ma botte ne pouvait faire de moi qu’une garce encore plus nympho qu’avant !

Ce petit animal si craintif est rapidement devenu un robot spécialement formé pour répondre à la moindre de mes envies salaces. Et j’ai de quoi être fière du résultat, puisque maintenant j’a b u s e de lui en toute circonstance sans me soucier de quoi que ce soit, en particulier de ses états d’âme, tellement il est habitué à me servir et à me faire jouir ; qu’il songe seulement à s’y soustraire serait purement hérétique, croyez-moi !

En ma présence, je lui ai ainsi appris à vivre nu quoi qu’il arrive ; à tel point qu’il transpire, sue à grosses gouttes et se sent presque mal s’il doit se vêtir lorsque la nécessité de sortir en ma compagnie se présente…

La deuxième chose primordiale qu’il a dû se rentrer dans le crâne fut qu’il ne devait quasiment jamais être en position bipède, sauf contre-ordre de ma part lorsque je désire qu’il me serve debout. À quatre pattes, il est alors aisé pour lui de passer aussitôt à genoux sans perdre de temps…

J’adore ça, me poser devant lui et présenter ma fente à lécher. C’est drôle d’ailleurs comme, à ce moment-là, je ne pense presque jamais à ce qu’il est en train de me faire. C’est tellement devenu une habitude que j’en oublierais parfois de jouir ! De ce fait, il n’est pas rare qu’il me déguste la fente en long et en large pendant une, voire deux heures. Rassurez-vous, je m’assois avant la fin.

Il ne discute jamais ; il offre sa bouche, sa langue mais parle peu. Je dois dire que c’est pour lui que j’ai fait l’effort de m’épiler la touffe ; j’en avais assez de le voir, toutes les trois secondes, tenter de retirer un poil de chatte qui s’obstinait à lui rester sur la langue. Depuis, il me la broute sans jamais… s’étouffer et, heureusement pour ses fesses, il se montre systématiquement vorace lorsqu’il s’y attaque.

Quand je suis mécontente de lui, ou bien je le gifle ou bien je lui cravache les fesses tous azimuts. J’adore ça, voir les zébrures rouges se dessiner petit à petit sur sa jolie petite croupe blanche tandis que je brandis et fait tomber à un rythme régulier la cravache sur ses adorables petites fesses.

Lorsque j’ai envie d’être baisée par mon gentil minou, je lui mets systématiquement un collier de chien au coup, auquel je rattache une laisse. Quand il me voit sortir le collier et la laisse, il sait que ça va être l’heure de la saillie. C’est une sorte de réflexe de Pavlov : Kévin se met à bander encore plus dur. Dans peu de temps, il va s’apprêter à me tringler, c’est comme une récompense pour lui…

Je m’allonge alors sur le dos et je le guide vers moi en le dirigeant avec la laisse. Je sais qu’à ce moment-là, il a une envie énorme de me baiser. Mais je reste maître de la situation. Il sait qu’il doit me tringler tout en douceur, du moins au début. Dans le cas contraire, Kévin sait qu’il risque de recevoir un coup de cravache en pleine face si jamais le rythme de ses coups de bite ne correspond pas à ce que j’attends de lui.

Quand il me baise, vous l’aurez compris, c’est moi la reine, c’est moi qui contrôle tout. Quand je désire que ses coups de queue soient davantage vigoureux, je ne le lui indique pas verbalement ; je me contente de lui mettre un léger petit coup de cravache sur l’une de ses épaules.

Aussitôt, il ne perd pas une minute et se met à me labourer la chatte en utilisant toute son énergie. Les cuisses écartées, je me laisse faire et m’offre à lui pour mon plus grand plaisir ; et pour le sien, n’en doutez pas !

Depuis peu, il ne se limite plus à me servir de broute-chatte et d’étalon. Dans ses nouvelles attributions se trouve celle d’urinoir. J’ai pris goût à ce nouveau plaisir et je crois que lui aussi. À genoux sur le sol froid et carrelé de la salle d’eau, Kévin sait qu’il risque gros, qu’il risque d’être battu si jamais il laisse déborder de ses lèvres ne serait-ce qu’une goutte de ma gracieuse urine.

Dans les faits, il n’est ni puni ni frappé car il a compris le coup ! Face à mon débit souvent important, il avale si vite le pipi au fur et à mesure qu’il lui coule dans la gorge sans jamais lui remplir la bouche.

À la fin de la journée, lorsque je me désespère d’avoir été si peu despotique avec lui, je lui fais subir un shampooing à la pisse. Le flot d’urine lui métamorphose le visage. Ses belles boucles d’or dégénèrent en de terribles mèches suintantes qui lui dégringolent sur le front. Je pisse tant que je peux sur ce corps de jeune pâtre à la peau si douce, claire et délicate comme de la porcelaine.

Je ris de voir cet archange terrassé par le vice, anéanti par le plaisir, écartelé par la grâce d’un côté, par la déchéance de l’autre. Je m’amuse…

J’espère que mon récit vous a plu. J’ai oublié de vous dire que Kévin était le fils de l’une de mes amies.

À bientôt, à très bientôt !

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